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> 10. La plaine d'Aramon
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10. La plaine d'Aramon |
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Enjeux de protection/préservation |
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Les pentes hautes et crêtes autour des bourgs : protection contre une urbanisation qui tend à les coloniser de façon désordonnée. Ici urbanisation problématique par sa trop grande consommation d'espace sur les hauts d'Aramon.
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La plaine inondable : arrêt de toute nouvelle construction dans ces zones à risques
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Les sites des villages, qui garantissent la cohérence et la lisibilité du bâti dans le paysage : protection contre le bâti diffus qui les fragilisent. Ici le site de Théziers
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La pérennité et la gestion des structures végétales présentes dans les extensions récentes d'Aramon en plaine, qui garantissent l'insertion discrète du bâti mais qui sont héritées de l'agriculture et non de l'urbanisme : protection, gestion et renouvellement.
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Les pentes agricoles et naturelles qui cadrent la plaine et composent une toile de fond de grande qualité.
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Enjeux de valorisation/création |
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Les extensions nouvelles du bâti : aptitude à renforcer les centralités existantes, à s'inscrire dans les sites bâtis. Ici un bon exemple d'urbanisation nouvelle dans le cour ancien d'Aramon.
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Enjeux de réhabilitation/requalification |
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Le pied de colline de Théziers, fragilisé par des extensions et des espaces résiduels non gérés, qui affaiblissent la qualité du site : résorption des points noirs, requalification paysagère.
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Les talus de la ligne TGV, qui font barrage dans la plaine : reconstitution des haies brise-vent dans la plaine, pour mieux " absorber " la présence de la ligne.
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La digue du Rhône à proximité de la confluence du Gardon, sèche, dénudée, peu avenante pour profiter du bord de l'eau : requalification paysagère par plantation de grands arbres, traitement des berges, végétalisation des sols, passage des circulations douces.
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Les sites des quartiers d'Aramon sinistrés par les crues de septembre 2002 : avenir ?
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