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adret : versant ensoleillé de la montagne, exposé au
sud
agouille : (en catalan : " agulla ") rigole pavée et parementée
aiguat : en catalan, crue spectaculaire et quasi-instantanée occasionnée par les fortes précipitations qui s'abattent sur les montagnes des Pyrénées-Orientales. L'aiguat d'octobre 1940 reste la plus catastrophique, ayant causé la mort de 48 personnes et occasionné de nombreux dégâts, notamment dans le Vallespir sur les rives de la Têt, dans les vallées du Cady et de l'Agly.
altiplano : (mot espagnol dérivé de la région de l'Altiplano dans les Andes) terme géographique désignant une " plaine d'altitude " et qualifiant la Cerdagne et le Capcir dans les Pyrénées-Orientales
anticlinal / synclinal : lors du plissement de couches géologiques, l’anticlinal représente la partie convexe (en dôme), le synclinal désigne la partie concave (en creux).
atterrissement : amas de terre formé par alluvions. La plaine de Narbonne s'est ainsi formée par l'accumulation des alluvions charriées par les crues de l'Aude. |
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badlands : (en anglais : " mauvaises terres ") paysage fortement marqué par l'érosion en ravines de matériaux tendres et donnant des sols impropres à la culture et peu couverts de végétation.
bancaou (= bancel = faïsse) : dans les Cévennes,
terrasse mise en culture
bancel (= bancaou = faïsse) : dans les Cévennes,
terrasse mise en culture
barkhane : dune mobile, déplacée sous l’effet
du vent
bouscas : dans les Cévennes, taillis de châtaignier
brise-vent : plantation de haie destinée à
protéger les cultures du vent (mistral, tramontane). Les haies brise-vent
sont omniprésente dans le couloir à vent que constitue la
vallée du Rhône ; elles sont constituées de cyprès,
de peupliers, de canne de Provence.
buron : bâtiment en pierre isolé dans les pâturages, notamment en Aubrac. Il servait à la fabrication du fromage durant l’estive, et de logement saisonnier pour le vacher
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cairo : brique pleine, en catalan
camelle : en Camargue, tas de stockage du sel après
sa récolte, son transport et son lavage. La Compagnie des salins
du Midi gère plus de 10 000 ha dont 3 000 autour d'Aigues-Mortes,
extrayant 400 000 à 600 000 tonnes de sel par an.
camins : mot catalan désignant les drailles
capacité d'accueil d'un site bâti : potentialité d'urbanisation préservant les qualités paysagères originelles d'un site bâti
capitelle : dans les garrigues, construction traditionnelle
d’appoint, de forme arrondie, entièrement bâtie en pierres
sèches.
casot : construction isolée dans les vignes, nécessaire à la viticulture
causse : vaste plateau calcaire, hérité
des mers du Secondaire. Très filtrant, le causse ne retient pas
l’eau qui s’infiltre et creuse des gouffre ou avens dans les
profondeurs. Le causse est le domaine de l’élevage ovin, qui
contribue à maintenir ouverts les grands espaces tapissés
de pelouses, piqués de bouquets de buis et de murets de pierre sèche.
Les légères dépressions, appelées dolines ou
sotchs, concentrent la terre et peuvent être cultivées.
cellera : (pluriel celleres), en catalan, dans le Roussillon, la cellera désigne le coeur villageois, souvent fortifié, regroupé autour de l'église. À partir de la fin du Xe siècle, un espace sacré est défini dans les villages, dans un rayon de trente pas autour de l’église, où les paysans peuvent se préserver des violences guerrières de la noblesse. Initialement occupé par le cimetière, cet espace s’encombre très vite de celliers où les villageois peuvent mettre à l'abri leurs récoltes, d'où le nom de cellera adopté peu à peu en Roussillon.
chancre coloré : maladie provoquée par un champignon (Ceratocystis platani) qui atteint les platanes. Difficilement identifiable, les arbres malades diagnostiqués sont généralement condamnés. La seule prévention à l'heure actuelle reste l'abattage des arbres.
circulation douce : circulation réservée
aux piétons et/ou aux vélos, sans engins motorisés.
CNABRL : Compagnie nationale d’aménagement
du Bas-Rhône-Languedoc. Créée en 1955, elle a été
chargée de l’aménagement hydraulique pour irriguer
25 000 hectares et mettre en valeur la bande côtière entre
le Rhône et les Corbières. Le programme de la CNABRL a concerné
dès l’origine plus de 230 communes des départements
du Gard, de l’Hérault et de l’Aude. Les eaux utilisées
proviennent du Rhône, s’écoulent par gravité
jusqu’au pied des Costières à Pichegu où a été
construite la station de pompage la plus importante d’Europe. La
Compagnie a diversifié ses actions dans l’aménagement
rural en général, l’aménagement touristique
et l’immobilier : gîtes ruraux, villages de vacances, lotissements,
groupements forestiers, ….
CTE / CAD
cuesta : (mot espagnol désignant le relief de " côte ") forme du relief dissymétrique constituée d’un un talus à profil concave (le front), en pente raide et, de l’autre, par un plateau doucement incliné en sens inverse (le revers). On retrouve notamment ces reliefs sur le piémont du Cabardès dans l'Aude. |
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doline (= sotch) : dans les Causses, dépression
légère ou s’accumule la terre, qui permet sa mise en
culture.
dolomie : carbonate double de calcium et de magnésium, donnant des reliefs ruiniformes (exemple : cirque de Mourèze (Hérault)). Selon la genèse des dolomies on distingue : les dolomies primaires issues de la précipitation de dolomite dans des lagunes côtières des pays chauds et les dolomies secondaires issues du remplacement de la calcite par de la dolomite (processus de dolomisation).
draille : chemin tracé par le passage répété
des troupeaux ovins en transhumance.
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encre : maladie du châtaignier due à
un champignon, le phytophtora, qui attaque les racines et provoque la mort
de l’arbre. elle a fait son apparition dans les Cévennes vers
1875, et a contribué, avec la maladie du chancre, au déclin
de la châtaigneraie Cévenole.
endothia ou chancre de l’écorce : maladie
du châtaignier due à un champignon qui pénètre
par une blessure de l’écorce, bloque la circulation de la
sève et provoque la mort de la partie supérieure de l’arbre.
Avec la maladie de l’encre, le chancre a contribué au déclin
de la châtaigneraie Cévenole.
estive : pâturage de montagne situé au-dessus de l’habitat permanent, utilisé pendant la période estivale. Dans les Pyrénées-Orientales, les estives désignant les zones d'altitude utilisées pour le pâturage des troupeaux de bovins, ovins et équins de juin à octobre.
étiage : plus bas niveau des eaux d’un cours d’eau. (source CNRS)
eutrophisation : déséquilibre d’un écosystème dû à un excès de nutriments, qui se traduit par une croissance excessive des algues et une diminution de l’oxygène dissous. (source CNRS)
événement : élément isolé
marquant le paysage de façon jugée positive |
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faïsse (= bancel = bancaou) : dans les Cévennes,
terrasse mise en culture
feixa : (pluriel : feixes) en catalan, bande de terre nivelée soutenue par un mur ou un talus et formant une terrasse cultivable sur les versants abrupts.
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gardonnade, gardounade : crue violente du Gardon,
due aux pluies intenses tombées sur les Cévennes
garrigue : formation végétale méditerranéenne,
caractéristique des substrats calcaires très drainants et
ne retenant pas l’eau. Le chêne vert, le chêne kermès
(avaou, abaou, garrouille), en sont les espèces les plus caractéristiques,
mêlés à d’autres essences : genévriers
oxycèdres et de Phénicie, laurier-tin, térébinthe,
lentisque, alaterne, daphné, filaire, buis, et des plantes plus
basses : fragon, chèvrefeuille, sarriette, cyclamen des baléares,
euphorbe, salsepareille, asperge, brachypode rameux, buplèvre ligneux,
thym, lavande, rtomarin, asphodèle, clématites, orchidées,
ophrys, violette, narcisse à feuille de jonc, narcisse douteux,
iris, scille d’automne, garance voyageuse, cistes, ... Le nom garrigue
vient de la racine pré-indoeuropéenne kar, gar, kal, gal,
qui signifie « pierre » ou « rocher » ; par extension
« abri de pierre, maison, forteresse, village » ; elle a donné
guarric en celte, garric en occitan, « l’arbre du rocher ».
Les mots Gard, Carcassonne, karst, calanque, chalet, clapier, crau, grave,
garoupe, en dérivent.
garrotxe : terre aride et pauvre, en catalan
gélifraction : éclatement, fragmentation des roches sous l'effet du gel
gispet : Festuca eskia (Graminée) plante constituant le fond de la végétation des pâturages et les pelouses rocailleuses des soulanes. Elle a une valeur pastorale médiocre, mais elle est un excellent stabilisateur des versants. Elle se présente en larges touffes de 30 à 50 cm de haut.
grau : interruption de cordon littoral qui met en relation
une lagune avec la mer.
gress : sol de galets siliceux déposé par
le Rhône sur les anciennes terrasses alluviales
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halophile (plante) : espèce végétale
poussant exclusivement dans des sols salés. La sansouire, la soude,
la
saladelle, sont des halophiles
halophyte (plante) : espèce végétale
pouvant supporter la présence de sel dans le sol. Le tamaris est
une plante halophyte.
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irrigation à la raie : mode d'irrigation gravitaire traditionnelle par un sillon acheminant l'eau entre les cultures.
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jasse : (la " bergerie " en occitan) espace herbeux plus ou moins plat, autrefois utilisé comme enclos de nuit pour les troupeaux. Dans les Pyrénées, les jasses constituent des espaces pâturés intermédiaires entre les prairies et les estives. |
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karst : forme d’érosion du calcaire, due en partie à
l’eau, par dissolution chimique et usure mécanique. Le relief
karstique est constitué de grottes, gouffres, vallées sèches,
gorges, dépressions fermées, avec absence d’eau en surface.
On a évalué à 25 mm par millénaire la tranche
de calcaire ainsi érodée par l’eau, soit 100 m en 4
millions d’années |
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lagune : étendue d’eau salée séparée
de la mer par un cordon littoral. Les communications avec la mer s’effectuent
par les graus.
livrée : palais des cardinaux édifiés
à Villeneuve-les-Avignon au temps de la Papauté Avignonnaise.
llose : lauze, en catalan : pierre plate servant à la couverture des toitures
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magnanerie : lieu d’élevage du ver à
soie (magnan en occitan), jusqu’à la formation du cocon et
la récolte. La magnanerie pouvait être constituée d’une
ou plusieurs pièces situées dans la partie haute de la maison.
Elle pouvait également constituer un bâtiment indépendant,
tout en hauteur et d’architecture particulière, caractéristique
du paysage Cévenol.
marmite : forme d’érosion en bassin creux
dans le calcaire due à l’eau. Les cascades du Sautadet sur
la Cèze présentent des marmites.
mégaphorbiaie : luxuriant groupement de hautes herbes vivaces occupant les sols profonds et fertiles, et recherchant les ambiances peu ensoleillées et humides en haute montagne.
mitage : urbanisation diffuse, consommatrice d’espaces
agricoles ou naturels
molasse : mélange de couches peu épaisses de calcaires et de grès, et surtout de marnes et d'argiles.
montille : butte sableuse peu élevée à
l’intérieur des terres de Camargue, correspondant à
d’anciens cordons dunaires. |
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paysage : « étendue de pays perçue
par un observateur », au sens minimal du dictionnaire. La perception
est au cœur de la définition, ce qui fait du paysage une notion
à la fois scientifique (connaissance du « pays ») et
culturelle (relation sensible de l’homme à son espace de vie).
pébrine : maladie bacillaire du ver à soie,
apparue au XIXe siècle dans les Cévennes, et qui a contribué
à fragiliser la sériciculture avant que Pasteur ne découvre
le remède en 1869.
pertuis : passage naturel formé par l’eau
dans les reliefs
peu de gall : au pluriel : peus de gall, (en catalan : " pied de coq ") réseau pluvial à la géométrie particulière en forme de patte d'oie, construit sur les pentes du vignoble de la Côte Rocheuse, et formé d'un collecteur central et les rigoles obliques. L'eau de ruissellement des terrasses (feixas) est collectée dans des rigoles (agouilles) pavées et parementées, disposées en diagonale. Ces dernières se jettent dans une branche principale (agouille maîtresse), généralement disposée dans le sens de la pente et creusée dans un thalweg.
phylloxéra : maladie de la vigne introduite en
Europe avec les vignes américaines et observée pour la première
fois dans le Gard en 1864. En 1888, soixante et un départements
français sont touchés. Le puceron s’installe sur les
racines de la vigne et la pique pour en extraire la sève. La blessure
de la racine évolue très vite vers une nécrose et
la vigne meurt. Comme le mal, la solution est venue d’Amérique.
Elle a consisté à greffer les cépages français
(gamay, chardonnay, cabernet, grenache, merlot, silvaner, etc) sur des
souches américaines, qui résistent à la maladie grâce
à l’écorce épaisse de leurs racines.
piémont : au sens géographique, le piémont désigne une région plate ou collinaire située au pied d'une montagne.
plane : plateau nivelé
point noir : élément isolé marquant
le paysage de façon jugée négative
poljé : dépression fermée karstique de grande dimensions (kilométrique). En général s'installe dans une dépression préexistante (synclinal ou effondrement près d’une faille). Parcouru par un cours d'eau qui disparaît dans un puits naturel, le poljé peut être inondé lors de fortes pluies. (D'après J.C. Bousquet) Exemple : le poljé de Saint-Maurice-de-Navacelles sur le causse du Larzac (Hérault).
puech = pech : élévation, sommet
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ombrée : dans les Pyrénées, versant nord de la montagne, à l’ombre, par opposition à la soulane |
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rame : dans les Cévennes, fagot de feuillage
constitué pour alimenter le bétail en hiver
ratch : rapides d’une rivière où l’eau écume et tourbillonne
rec : en catalan, canal d'irrigation artificiel
régatiu : en catalan, désigne les terres irriguées.
resclose : en catalan, digue rustique constituée par un alignement de grosses pierres, de cailloux roulés et de graviers maintenus par des fascines, des troncs d'arbres et des pieux, et utilisée pour la dérivation d'une partie de l'eau des rivières vers les canaux d'irrigation.
restanque : dans les garrigues, terrasse mise en culture
ripisylve : végétation d’accompagnement
des cours d’eau
rizière : champ de culture du riz. La Camargue
est la seule région de France où se cultive le riz, ceci
depuis François Ier au moins. Le riz devient, à partir de
1950, une composante majeure de l’économie camarguaise, dont
l’expansion est liée aux pénuries subies durant la
seconde guerre mondiale. En 1964, 32500 hectares de rizières se
répartissaient sur la basse vallée du Rhône. Après
une relative période d’abandon jusqu’en 1981, la cultures
est ensuite remontée jusqu’à 25 000 hectares en 1995,
dont 15 000 hectares sur le territoire du Parc naturel régional
de Camargue.
roubine : petit canal ou fossé de récupération
et transport des eaux
route-paysage : route qui offre une lecture panoramique des paysages du fait de son implantation particulière dans la topographie : en balcon, en ligne de crête, à flanc de versant, ...
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salicorne = engane : plante que l’on rencontre
dans les sansouires de Camargue, adaptée aux sols salés.
Les pousses de salicorne sont comestibles.
sansouire : milieu naturel ouvert de la Camargue aux
sols saturés de sel et inondables. L’obione, la saladelle,
font partie des plantes qui peuvent y pousser.
senill : en catalan, désigne les roseaux des zones humides du littoral (Phragmites australis ou Phragmites communis)
sériciculture : élevage du ver à
soie
serre : longue crête séparant deux versants
de la montagne
site bâti, village-site : village composant un
site remarquable dans le paysage, du fait de l’agencement du bâti
avec le relief.
socle hercynien : massif ancien constitué de terrains datant de l’ère primaire et formant le socle des principaux reliefs de la région
sotch (= doline) : dans les Causses, dépression
légère ou s’accumule la terre, qui permet sa mise en
culture
soulane : dans les Pyrénées, versant ensoleillé et sec d'une vallée (adret), par opposition à l’ombrée (ubac)
source vauclusienne : résurgence d’un cours
d’eau souterrain, en général en pays calcaire. La Fontaine
d’Eure à Uzès est une source vauclusienne.
structure paysagère : composition végétale
ou minérale participant à l’organisation d’un
paysage : haie brise-vent, mur, etc.
suberaie : boisement de chênes-lièges cultivé pour la production de liège. En Languedoc-Roussillon, le chêne-liège se cantonne aux Pyrénées-Orientales : dans le massif des Albères, le Bas-Vallespir et sur le flanc sud des Aspres.
synclinal : terme géologique désignant un pli en forme de cuvette (contraire : anticlinal) et dont le centre est occupé par les couches géologique les plus jeunes. Dans les Pyrénées-Orientales, le synclinal du Fenouillèdes est un important pli pyrénéen formé suite à la surrection des Pyrénées durant l'ère tertiaire. Il dessine une longue vallée entre Lapradelle et Maury encadrée de grandes échines rocheuses.
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taillis : bois constitué d'arbres de petites dimensions et que l'on recèpe (recoupe à la base) de temps en temps. Exemple : taillis de chênes verts servant à la production de bois de chauffage.
thalweg : terme géographique désignant la ligne de plus forte pente d'une vallée suivant laquelle s'écoulent les eaux.
transhumance : déplacement des troupeaux vers ou depuis l’estive, à pied ou plus souvent aujourd’hui par bétaillères.
trilogie agraire : organisation des campagnes : " l'espace régulièrement cultivé (ager), l'espace des parcours pastoraux (saltus) avec ses landes, ses prairies, ses clairières..., enfin l'espace forestier (silva) " (A. Berque). Le coeur en est occupé par le bâti (domus) et les jardins (hortus) pour donner la séquence classique domus - hortus - ager - saltus - silva dans laquelle sont représentés les principaux registres de la motivation paysagère. |
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ubac : versant de la montagne exposé au nord
unité de paysage, unité paysagère
: portion de territoire présentant des caractères de paysage
homogènes. L’identification des unités de paysage permet
de mesurer la diversité des paysages pour un territoire donné,
et d’identifer les traits de caractères qui les différencient.
Urgonien : calcaire dur du Crétacé, âgé
de 115 à 110 millions d’années (étages géologiques
du Barrémien-Bédoulien), qui compose l’essentiel des
massifs des Garrigues. Une fissuration généralisé
l’affecte et le rend très perméable ; l’eau s’y
infiltre rapidement. |
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valat (ou vallat) : vallée en V à versants
escarpés
valeur paysagère : caractéristique forte
et essentielle d’un paysage, qui peut être un élément
ou une forme d’organisation d’éléments entre
eux. L’identification des valeurs paysagères permet d’interroger
les transformations d’un paysage pour vérifier si elles le
valorisent ou non ; c’est aussi une source d’inspiration pour
agir et transformer l’espace dans l’esprit des lieux.
vidourlade : crue violente du Vidourle, due aux pluies
intenses tombées sur les Cévennes |
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yeuse : autre nom du chêne vert |
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ZAP : zone agricole protégée |
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