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> Pyrénées-Orientales
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> 19. La côte rocheuse des Albères et son vignoble
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19. La côte rocheuse des Albères et son vignoble |
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Enjeux de protection/préservation |
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Les baies et les caps naturels de la côte rocheuse : préservation des sites naturels, maîtrise de l'urbanisation, résorption progressive des points noirs, gestion des sites classés, pérennisation des valeurs paysagères
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Les paysages des terrasses viticoles : préservation des paysages, notamment hors des périmètres des sites classés du "bassin de la Baillaury" et du "cirque des collines de Collioure" ; poursuite de la gestion agricole et paysagère des sites classés
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Les pentes viticoles de "l'arrière-pays" aux abords des villes : préservation contre l'urbanisation diffuse par une maîtrise de l'implantation des nouvelles constructions, intégration paysagère des constructions
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Les routes-paysages accrochées aux pentes : préservation du gabarit réduit, gestion des vues.
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Les sites bâtis des villages-ports et de leurs baies : prise en compte des sites lors des opérations d'urbanisation, respect des limites de la baie par une préservation des crêtes.
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Les sites portuaires des villages-ports : protection des paysages maritimes.
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Enjeux de valorisation/création |
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La route du littoral RD 114 : identification et préservation des vues, intégration paysagère des dispositifs de sécurité, mise en valeur des abords et préservation contre le mitage, suppression des surlargeurs minéralisées.
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Le patrimoine viticole : terrasses, peu de gall et casots (cabanes) : identification et repérage cartographique, poursuite de la préservation et de la gestion, mise en valeur architecturale, choix de matériaux adaptés.
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Les points de vue : mise en valeur et gestion de la végétation.
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Les pentes arides et les terrasses abandonnées : gestion écologique et paysagère de la végétation, entretien des terrasses qui retiennent les sols.
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Les bords de l'eau et les ravins secs : mise en valeur des abords, gestion écologique des lits secs.
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Les quais du port de Port-Vendres : mise en valeur paysagère, aménagement de circulations piétonnes.
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Le sentier littoral : réorganisation des circulations, notamment dans les sites naturels, en privilégiant les circulations douces, création d'un sentier littoral continu sur toute la côte.
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Les centres des villages-ports : poursuite de la mise en valeur du patrimoine architectural et des espaces publics.
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Enjeux de réhabilitation/requalification |
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La route de déviation des agglomérations RN 114 : intégration paysagère du tracé et des ouvrages d'art et hydrauliques, requalification des accès aux ports.
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Les points noirs architecturaux dégradant les sites naturels et bâtis : résorption progressive, accompagnement végétal.
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Les caps (aujourd'hui la plupart sont des sites classés : le cap Béar et ses abords, le cap Oullestrel, le cap de l'Abeille, ...) : requalification paysagère et écologique des sites naturels, réaménagements des abords et des aires d'accueil du public, enfouissement des lignes électriques.
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Les anses naturelles et leurs plages : maîtrise de l'urbanisation, requalification des abords et des aires d'accueil du public.
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Les limites d'urbanisation des villages-ports : arrêt de l'urbanisation sur les crêtes, résorption progressive des points noirs architecturaux, accompagnement végétal.
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Les aires d'accueil du public dans les sites naturels : intégration paysagère et écologique des zones de stationnement et des cheminements piétonniers.
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Les constructions sur les pentes : requalification des abords, intégration paysagère des remblais et soutènements.
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Les plages urbaines et fronts de mer : requalification, aménagement de promenade ombragée, recul des stationnements, intégration paysagère des équipements.
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Le site de Cerbère, marqués par le passage en force des infrastructures : maîtrise de l'urbanisation diffuse sur les pentes, replantation des pentes arides par des boisements, revalorisation agricole des terrasses en friche.
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